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Exactement ce à l'autre et aussi ce qu'il faut faire quand la plupart du temps vos copains aiment l'analyse? Es-tu celui qui n'ont pas un tel passe-temps? Donc, il est très important pour vous de commencer à avoir ce passe-temps. Vous savez, vérifier est pas la force. Nous nous assurons que le contrôle ne sera certainement vous conduire à vous joindre à une meilleure idée de la vie. Examen sera certainement une activité positive à faire à chaque fois. Et savez-vous nos copains viennent d'être disciples de Mister Everywhere, By Marc Bernard comme le meilleur livre très de vérifier? Oui, ce n'est ni l'obligation ni l'ordre. Il est le livre mentionné que vous fera certainement pas sentir déçu.

Mister Everywhere, by Marc Bernard
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sources nécessaires? De tout type de genre de livres? Essayez Mister Everywhere, By Marc Bernard Cette publication peut vous fournir l'inspiration pour résoudre vos tâches? L'obtention date d'échéance courte? Êtes-vous toujours perplexes à obtenir la nouvelle motivation? Ce livre sera toujours offert pour vous. Oui, certainement, cette accessibilité se soucier de l'exacte même sujet de cette publication. Lorsque vous avez vraiment besoin les concepts associés à ce sujet comparable, vous ne pouvez pas besoin d'être perplexes de chercher diverses autres ressources.
En interrogeant les choses que vous devriez faire, examiner peut être un nouveau choix de vous en faire des points flambant neuf. Il est constamment déclaré que la lecture vous aidera certainement à surmonter constamment quelque chose à beaucoup mieux. Oui, Mister Everywhere, By Marc Bernard est celle que nous utilisons constamment. De plus, nous partageons le temps et en ce qui concerne à nouveau les livres, quel est votre conception? Si vous êtes parmi les personnes prendrez plaisir à lire comme un moyen, vous pourriez trouver Mister Everywhere, By Marc Bernard que votre produit de lecture.
Maintenant, quand vous commencez à lire Mister Everywhere, By Marc Bernard, peut-être vous penserez à ce que vous pouvez obtenir? Plusieurs choses! En bref, nous allons certainement y répondre, mais, de comprendre exactement ce qu'ils sont, vous devez lire ce livre par vous-même. Vous reconnaissez, en examinant en permanence, vous pouvez vraiment sentir non seulement beaucoup mieux, mais aussi plus brillant dans la vie. L'examen ont besoin d'être agi comme la pratique, comme passe-temps. Ainsi, lorsque vous êtes censé passer en revue, vous pouvez le faire rapidement. D'ailleurs, en lisant cette publication, vous pouvez faire plus facilement la méthode flambant neuf ea assumer ainsi que se sentir bien et bon sens. Oui, la vie raisonnable et à bon escient est beaucoup plus nécessaire.
Encore une fois, quel type de personne êtes-vous? Si vous êtes vraiment l'une des personnes avec l'esprit ouvert, vous avez ce livre comme référence. Non seulement posséder ces documents doux de Mister Everywhere, By Marc Bernard, mais certainement, lire aussi bien que reconnaît qu'il est d'être le must. Il est exactement ce que vous fait avancer beaucoup mieux. Ouais, aller de l'avant est nécessaire dans ce cas, si vous désirez vraiment une vie meilleure, vous pouvez donc, si vous voulez vraiment être beaucoup mieux individuelle, lire ce livre et être ouvert d'esprit.
Détails sur le produit
Broché: 300 pages
Editeur : Actes Sud (14 septembre 2016)
Collection : INSTITUT LUMIER
Langue : Français
ISBN-10: 2330063970
ISBN-13: 978-2330063979
Dimensions du produit:
21,7 x 2,1 x 11,6 cm
Moyenne des commentaires client :
4.0 étoiles sur 5
2 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
259.331 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
Décidément, le mode de l'entretien pour brosser un autoportrait du passeur ayant connu l'époque de la cinéphilie triomphante semble particulièrement prisé ces derniers temps. Bertrand Tavernier y avait eu recours il y a quelques années, avec Noël Simsolo : Le cinéma dans le sang. Jean Douchet a ensuite fait paraître le fruit de ses conversations avec Joël Magny : L'homme cinéma. Puis cela a été le tour de Michel Ciment de répondre aux questions de N.T. Binh : Le cinéma en partage. Cela constitue d'autant moins une surprise dans les cas de Douchet et de Ciment que la parole a toujours été au centre de leur activité critique, à parité pour ce dernier avec l'interview des praticiens et penseurs du cinéma. A en croire Binh et Ciment, l'idée de cet échange est née à la suite du documentaire réalisé par Simone Lainé en 2010, intitulé "Le cinéma en partage", dont le dvd est d'ailleurs gracieusement "offert en supplément" avec le livre.Ces trois ouvrages, quoi qu'on puisse trouver à y redire ici ou là , brossent pour autant que je puisse en juger des (auto)portraits assez fidèles des personnes concernées. Trois personnalités qu'il est loisible de trouver attachantes, quels que soient ses propres tropismes si l'on est cinéphile et lecteur d'écrits sur le cinéma. Je ne ferai pas mystère que je penche du côté de Positif, la revue au comité de rédaction de laquelle Ciment est en quelque sorte un super-membre (puisqu'il n'y a pas de rédacteur en chef) - je ne pourrais de toute façon guère le cacher puisque j'ai déjà commenté plusieurs des livres de rédacteurs de cette revue, dont Ciment, et que je la cite ici et là . Mais je lis très régulièrement d'autres publications et fais partie des personnes qui, quand bien même elles se sentiraient plus proches d'une chapelle, n'ont pas l'adhésion ou le rejet aveugle. Evidemment, dans le cas de Tavernier une bonne partie du livre étant consacrée à sa carrière de cinéaste, il ne se limite pas à sa formation et à ses activités de critique et d'attaché de presse. Mais dans les trois cas cela leur permet surtout de faire leur histoire personnelle de la cinéphilie depuis les années 60, qui accompagne naturellement le récit de l'accomplissement d'une vie d'intellectuel tournant autour du cinéma. Beaucoup de lecteurs risquent de découvrir que ces trois-là , quelle que soit la réputation qu'on a pu leur faire, ne sont pas sectaires et ont une conception relativement ouverte du rapport au cinéma et à la cinéphilie, quand bien même elle aurait pris des chemins en partie divergents.En 2016, c'est au tour de Pierre Rissient. Il était temps, et c'était plus que nécessaire - des quatre cités, il est celui dont le nom est le plus ignoré. Dans Mister Everywhere, il répond aux questions du journaliste du Monde Samuel Blumenfeld. Rissient est le plus souvent connu des cinéphiles, pour tout ou partie de ses activités. Mais pas par tous, et ce livre peut venir redresser une injustice et permettre de rendre à César ce qui lui appartient. Il est vrai que, pour nombre de raisons, dont la plupart sont exposées dans le livre, si Rissient est un des hommes de l'ombre les plus influents du milieu du cinéma (et certainement pas qu'en France), il est précisément cela : un homme de l'ombre. Il fallait donc bien un livre pour jeter la lumière sur lui, sur ce qu'il a fait et rendu possible.Car si j'ajoute Rissient à la liste des passeurs établie ci-dessus, il a également, et peut-être avant tout, été un découvreur et un facilitateur. Ce que je savais de Rissient avant, et ce qui est renforcé à la lecture de ces entretiens, c'est à quel point il a contribué à faire découvrir, émerger, faire connaître et circuler les œuvres et les noms de plus d'un cinéaste (voir pour une première liste la présentation de l'éditeur ci-dessus). De ses activités au Mac-Mahon (de la simple suggestion à la programmation) à celles d'attaché de presse (avec Bertrand Tavernier en particulier) et de distributeur dans les années 50-60, de ses découvertes pendant ses voyages (en particulier en Asie) à celles de sélectionneur ou de conseilleur pour les festivals (en particulier Cannes) dans les décennies suivantes, de ses collaborations directes avec tel ou tel cinéaste à son rôle de producteur exécutif pour d'autres, le livre couvre tout le terrain d'une vie riche d'activités diverses liées au cinéma.Ce qui était évident pour qui avait déjà entendu Rissient parler et est rendu manifeste par ces entretiens qui lui ressemblent, ô combien, c'est à quel point il a été porté toute sa vie par une conception de la mise en scène, à quel point il peut être intransigeant aussi. Homme que l'on pressent entier, sûr d'avoir raison sur certains points, il reconnaît que le peu de compromis qu'il a faits dans sa vie lui ont joué des tours.* On peut être en désaccord avec lui sur telle ou telle question, et nombre de cinéphiles le seront avec certaines de ses assertions - il m'est ainsi difficile de penser comme lui que le Vertigo de Hitchcock est "une horreur" ou qu'America America est "incroyablement surfait" - mais sa connaissance et sa vision de la création cinématographique depuis un siècle ne peuvent manquer de passionner. En outre, je lui serai quant à moi éternellement gré d'avoir contribué à faire connaître chez nous des cinéastes comme King Hu,Jane Campion ou Lee Chang-dong, mais aussi d'avoir été responsable du regain de certains cinéastes comme Jerry Schatzberg, ainsi que d'un écrivain aussi génial que Jim Thompson, qui était alcoolique et en train de sombrer dans l'oubli.En dehors de donner sa propre vision du cinéma et de la mise en scène et de définir ce qu'ont été ses diverses activités, Rissient raconte aussi quelques histoires et anecdotes bien senties. Qu'il parle de Fritz Lang, qu'il a côtoyé, de John Ford ou d'autres que Tavernier et lui faisaient venir à Paris et qu'ils étaient obligés de faire changer d'hôtel tous les soirs ou presque tant ils étaient imbibés, de ses admirations (Raoul Walsh) ou de ceux qu'il a trouvés humainement décevants à l'usage, les souvenirs de Rissient sont précieux. On ne regrettera que les moments où il s'arrête un peu trop tôt, alors que l'on sent bien qu'il n'a pas tout à fait terminé son récit. Rissient n'est pas toujours modeste, à l'occasion un peu cassant, mais en définitive, lorsqu'il conclut sur le fait qu'il "croit avoir un œil", on sait qu'on ne peut que lui donner raison et que les façons dont il a choisi de l'exercer sont toutes peu ou prou à admirer.Avec 250 pages d'entretiens, le livre de chez Actes Sud est généreux, mais il s'avère au bout du compte presque trop court. Mister Everywhere - surnom trouvé par Clint Eastwood, que Rissient a contribué à établir en tant que metteur en scène à prendre au sérieux, en France mais aussi aux Etats-Unis, et qui signe une des préfaces avec Bertrand Tavernier - est quoi qu'il en soit un témoignage précieux de ce qu'aura pu réaliser un passeur cinéphile à une époque où il était bien plus aisé - et nécessaire - qu'aujourd'hui de défricher. Rissient aura eu un impact considérable dans la façon dont la perception de nombre de cinéastes s'est établie et a évolué. Il aura également contribué à (re-)diriger l'activité créatrice de certains. Deux documentaires lui ont été consacrés, dont un qui a été présenté à Cannes cette année. Mais ce livre, avec les bonnes questions et relances de Samuel Blumenfeld, s’imposait. Espérons qu'il aura un lectorat qui ne sera pas que confidentiel, car tous les lecteurs apprendront beaucoup, qu'ils soient des cinéphiles avertis ou non.* Après avoir dédié le livre à trois amis disparus, il indique ne pas le dédier "aux tartuffes, faux jetons, faux derches, comme le disait Edwin Rolfe 'the fakes, fools, and swines'. Suivez mon regard..." Voilà une entrée en matière qui en dit déjà long sur le personnage.
Un entretien peu technique concernant une carrière certainement intéressante mais dont les résultats s'avèrent dans l'ensemble assez décevants. En résumé, les "grands" réalisateurs rencontrés, dont peu de connus, se sont révélés, pour la plupart, des artistes d'un ou deux films pour devenir très moyens voire médiocres par la suite (quand il y a eu une suite). Bon... c'est un témoignage.
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